liberté

Petit matin. Paris. Ma ville. défile sous mes roues. Mon vélo est fou, il es libre depuis longtemps.

Rue Richelieu. je ne sais plus ou j’allais, mais j’y allais. droit devant, ne pas y penser. droit devant, la liberté s’ouvre…  Et plus je pédale, plus c’est une évidence.. tout est ouvert, souple, à ma merci. Le soleil brille, brule cette ville,  belle, et brulante sous moi.

Paris., je réalise combien je t’appartiens, combien toi, tu m’appartiens. nous ne faisons plus qu’une. toi, mon vélo et moi. ne sommes plus qu’un…. un élan de liberté.

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.