trop d’huitres

est ce que je vous aime ? vous ai aimé ? vous aimerai ?

mars, demain avril. les mois passent et moi je regarde tout ça passer.

il y a eu l’hiver, le froid, les bas, les bulles.

il y a eu l’hiver. les larmes. les rires. le chaud.

A Noêl, il y a eu les huîtres… on a cru que tout était terminé… parce qu’on le sentait depuis le retour de Masirah… Et puis il est resté des huîtres.. Ila  fallu les manger. je t’ai appelé ..  » Trop d’huîtres » disait mon message…

Et on a remis ça. je crois que l’on n’y croyait ni l’un ni l’autre mais, on avait un peu froid, tous les deux et c’était Noêl… alors on s’est réchauffés.

Puis le temps a continué de passer…  on s’est dit qu’on irait bien faire un tour en mer…

les Caraîbes… on s’y est retrouvé en février.

On en avait envie depuis longtemps. on était contents. on était ivres qand on s’est retrouvés sur ce brik goellette du milieu du siècle. Le temps nous a rapproché, nous a distancé, nous a devancé.

on est rentrés, contents, étonnés de cette entente.

les huîtres sont revenues, c’était mars.

Les yeux me font mal. Je sais que l’on ira nulle part. on joue contre la montre. Une séance de cinéma, Django, pas comme tu l’entendais, et c’est le drame.

on ne construit rien. tout est remis en question à chaque seconde.

Crash au décollage. rebelotte.

 

Il

VA

FALLOIR

Y

METTRE

FIN.

 

Je n’ose pas, je ne veux pas, je n’ai pas la force, je ne peux que regarder…

je suis PARALYSEE…

 

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